Découvrez les 12 conférenciers

Designer et professeur associé au M-ITTI vivant à Madère. Il a quitté son métier dans la publicité car il ne voulait plus promouvoir des produits qui ne lui tenaient pas à cœur. Depuis, il est devenu fondateur d’un projet sur l’indépendance énergétique.

Chercheur associé au Centre de recherche en éthique de l’Université de Montréal. Il a cofondé l’équipe de recherche en innovation sociale par le design PROJEKT. Selon lui, le design peut augmenter ou diminuer l'habitabilité du monde.

Designer dans un laboratoire de recherche-action à Paris sur les politiques françaises. Avec ses collègues, elle part en immersion dans des équipements publics pour analyser l’expérience des utilisateurs et proposer des améliorations

Designer de produits à Cologne. Selon lui, la prise de conscience est la clé pour la bonne conception d’un produit.

Dessinateur de caractère et designer graphique ainsi que fondateur de Typothèque ainsi qu’éditeur de Works that Work, un magazine sur le design accessible au grand public et non seulement aux designers.

Professeur associé à HEAD The Near Future Laboratory de Genève. D’après lui, pour arriver à un meilleur résultat, il faut réfléchir au contexte de la vie. C’est-à-dire anticiper les problèmes potentiels.

Designer et fondateur de Design&Human a Paris. Il travaille essentiellement avec des ONG et a notamment créé une application intitulée Refugeye.

Directrice et co-fondatrice d’IF à Londres. Elle se consacre aux problèmes de sécurité et de protection de la vie privée. Elle est convaincue que le design peut redonner le pouvoir à l’utilisateur et lutte contre la production et la collection des données personnelles par les organisations

James possède un doctorat sur l’éthique de l’attention à l'université d'Oxford et est co-fondateur de Time Well Spent. Selon lui, si la technologie existe c’est bien pour nous aider à mieux vivre, à mieux réaliser ce que l’on veut faire, à accomplir nos objectifs, et à vivre selon nos valeurs.

Chercheuse en éthique numérique à Paris. Elle travaille sur une approche éthique de la conception numérique dans des grandes entreprises. Elle se consacre aussi à la recherche des machines éthiques et de la déontologie du designer.

Il a étudié le design d’interaction au Royal College of Art. Il a commencé un doctorat en éthique des algorithmes en essayant de répondre à la question : est-ce que l’éthique peut être numérisée ? Il travaille actuellement à Shanghai en tant que designer d'interactions.

Designer et co-fondateur des Sismo à Paris. Il trouve que plus l’univers est difficile, plus l’univers paraît réticent à une approche critique du design et plus c’est intéressant. Il priorise la valeur du dialogue contre la valeur de production.